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Inconvénients des produits laitiers 2

Difficultés de vie engendrée par les produits laitiers (lait, fromage, yaourt, fromage blanc, laits fermentés, béchamels, glaces, crème dessert, petits suisses, fromages à crème fondue…) et les produits issus du soja.

Intolérance au lactose ou allergie aux protéines de lait ? Peut-être vous êtes-vous déjà posé cette question comme beaucoup de Français qui digèrent mal le lait de vache et les produits laitiers qui en sont issus.

 

En effet, le lait fait partie de notre nourriture de base et sa consommation est fortement encouragée par les pouvoirs publics pour soi-disant des raisons de santé, mais surtout de surproduction, et comme nourriture d’apaisement des foules. (Réaction sur l’organisme à l’égal d’une drogue).

                                                     

 

Pourtant, le lait est aujourd’hui de plus en plus remis en question en raison des cas fréquents d’intolérance au lactose, d’allergie aux protéines de lait, d’inflammations chroniques dû à sa trop forte teneur en calcium et sa pauvreté en magnésium, le fait que les produits laitiers sont une hormone de croissance et pas des moindres, (dérèglements de la thyroïde), du fait qu’ils augmentent les risques d’athéromes dû au calcium que l’organisme n’arrive pas à gérer et dépose ainsi à la va vite sur les parois sanguines.

Les conséquences de l’épaississement du sang que les produits laitiers provoquent et les désagrégement qui peuvent en résulter : maladie d’Alzheimer, Autisme, Schizophrénie, Thrombose, Infarctus, Hypertension...

Le fait que pour notre organisme c’est un sucre rapide, une trop forte consommation augmente le risque du Diabète, de maladies auto-immunes.

                                                  

Le lait est un aliment composé essentiellement de protéines (caséines), d’un glucide nommé lactose de matières grasses.

 

Le taux de ces dernières n’a pas d’impact sur la question qui nous intéresse ici. Rappelons tout de même qu’on distingue trois types de lait dans le commerce : le lait écrémé (sans crème), le lait demi-écrémé (dont on a retiré la moitié de la crème) et le lait entier avec toute sa crème.

La plupart des laits sont homogénéisés, c'est-à-dire leur protéine est fragmentée. Cette fragmentation rends la protéine très petite, ainsi elle passe par les intestins lissés et augmente le résultat allergisant et inflammatoire, voir irritant des produits laitiers sur notre organisme qui est déjà très aggravée par le taux trop élevé du calcium. (Tous les aliments élevés en calcium sont créateurs d’histamines dans notre corps).

                                                              

INTOLÉRANCE AU LACTOSE

Le lactose est un disaccharide, c’est-à-dire un glucide formé de deux molécules reliées entre elles.

Pour assimiler ce glucide, l’organisme doit le découper en glucose et galactose au moyen d’une enzyme produite dans l’intestin grêle : la lactase.

L’intolérance au lactose est une sensibilité au glucide double du lait. (Comme vu ci-dessus ce n’est pas le seul inconvénient).

 

 Si le corps ne fabrique pas de lactase, le lactose posera des problèmes de digestion au bout d’une heure, parfois moins : flatulences, crampes abdominales voire même diarrhée. En effet, le lactose non digéré passe « entier » dans le côlon déclenchant des gaz et accélérant le transit. L’intensité des symptômes dépend du pourcentage de lactase encore produite…

Ce lactose est capable de se liés avec les gluten en colle plus collante que glu3 et ainsi obturer le transit digestif qui pour évacuer cet inconvénient va provoquer des diarrhées en vue de se débarrasser de ces glues.  Chose possible si l’intestin n’est pas trop fragile, mais quasi impossible pour les intestins fragiles. Cet effet rend l’organisme disposé vers une maladie de type coeliaque, dont la forme la plus extrême est la maladie de Krohn.

                                                                    

 

Une fois passé l’âge de la petite enfance, la production de lactase décroît jusqu’à 18-20 ans. Chez les enfants des générations précédentes.

Il y a de plus en plus de nouveaux nés qui naissent dans des famille qui se nourrissent de beaucoup de produits laitiers, céréales et sucres et qui dés la naissance ne supportent ni le lait maternel ni le lait maternisé ! Leur organisme fatigué par les abus des générations précédentes n’arrivent plus à tolérer les produits laitiers. Si la maman prends conscience et change sa façon alimentaire cela peut se réparer. Autrement il faut recourir à des changements permanents de nourriture et lui donner beaucoup de carottes cuites bio ainsi que tous les légumes à soupe.

 

On estime en France que 90% des adultes ne disposent plus que de 0 - 10% de leur production initiale de lactase. La prévalence de l’intolérance au lactose varie selon les régions du monde et parfois au sein des pays.

En France, l’intolérance au lactose touche plus que 50% de la population dans le Sud du pays contre 20% au Nord pour la simple raison qu’au Nord de la France l’intolérance aux produits laitiers est encore mal connue et mal dépistée.

                                                              

Personnellement je pense pouvoir affirmer que cette indisposition touche à tout le monde. Selon si les personnes ont une bonne constitution à la naissance, ou si elles font du sport simplement elles s’en rendront moins compte.

Et puis il y a aussi les doses. Il y a des personnes qui s’en nourrissent quasi essentiellement, et d’autres qui vont en user qu’en compagnie s’ils se retrouvent avec des amis.

 

Pour se rendre compte du bien-être d’une nourriture sans produits laitiers, sans céréales et sans sucre il suffit de le faire pendant 14 jours.

                                                               

Normalement l’intolérance aux produits laitiers concerne les adultes et adolescents. Elle était très rare chez les petits car ils produisaient naturellement beaucoup de lactase. Actuellement ce n’est plus le cas.

Entre les vaccins, de plus en plus précoces, de plus en plus complexes et avec comme aditif de l’aluminium, du glyphosates (https://www.geneticliteracyproject.org/2016/09/20/glyphosate-herbicide-vaccines-frightened-parents-know/) pour en citer que quelques toxines injectées qui viennent complètement perturber le système immunitaire pour faire de votre nouveau né un client à vie des Laboratoires pharmaceutiques !

                                                  

 

Les dérangements intestinaux suite à la consommation de lait peuvent aussi venir d’une allergie aux protéines de lait…

Le lait sans lactose que l’on trouve aujourd’hui dans le commerce est un lait dans lequel les industriels ont ajouté de la lactase pour pré-digérer le lactose. Le glucide se retrouve ainsi en grande partie pré-découpé en glucose et galactose. Le lait sans lactose n’en est toutefois pas totalement dépourvu : il contient encore 5 gramme de lactose au litre (pour la marque Matin Léger de Lactel) contre 50 g pour un lait « classique ».

 

                                                                        

 

Le lait sans lactose peut donc aider un peu les personnes intolérantes au lactose à continuer de consommer et cuisiner du lait de vache de temps en temps.

 

Il ne s’agit cependant pas d’une solution miracle, et peut même être une solution inefficace si l’élément sensibilisant du lait sont en fait les protéines du lait de vache, ou au fait que c’est un produit qui contient naturellement des hormones, ou dû à sa trop forte teneur en calcium… En effet, on peut tout à fait bien digérer le lactose mais être allergique au reste des composantes des produits laitiers.

                                 

Le lait animal contient des protéines très sensibilisantes : la bêtalactoglobuline et surtout les caséines. Si le lait de vache est le champion en la matière, le lait de chèvre comporte moins de caséines et davantage d’azote non protéique. C’est pourquoi il est souvent mieux toléré des sujets allergiques dans un premier temps. Ensuite les mêmes inconvénients des produits laitiers de vache, de brebis ou du soja se feront ressentir.

 

L’estomac humain ne contient pas l’équipement enzymatique nécessaire à la digestion des caséines, à différence des animaux ruminants qui produisent de la présure.

La sensibilité aux protéines du lait se traduit souvent par des douleurs intestinales et une digestion globalement perturbée, avec une malabsorption de vitamines (du groupe B) et minéraux (calcium, magnésium, potassium), précipitation de la vitamine D, besoin essentiel pour une bonne ossature et provoquant ainsi sur le long terme un terrain propice à l’ostéoporose.

Les pays le plus touchés par cette défaillance de notre squelette sont l’Amérique, l’Australie, la Nouvelle Zélande, les Pays-Bas, les Pays du Nord comme Suède, Finlande, Suède, Suisse, Nord de la France.

Ce sont les pays qui utilisent le plus de produits laitiers ! Les pays qui n’en mangent pas ou très peu ne souffrent pas d’os fragiles, ont des cœurs plus solides et moins de maladies en général.

Les pays cités ci-dessus sont les pays ou leurs lits d’hôpitaux sont les plus utilisés pour des ruptures de col de fémur, leur chiffre dépasse de loin les autres chiffres d’hospitalisations dû à d’autres maladies.

                                      

L’allergie aux protéines du lait de vache touche de plus en plus les tout petits qui, en plus des problèmes digestifs, souffriront d’affections ORL : sinusites, asthme, otites, de problèmes dermatologiques : eczéma, éruptions.

 

La consommation importante chez votre enfant et chez l’adulte accompagnée d’une forte consommation de céréales (pain, biscottes, müeslis, viennoiseries, crispies, blé soufflé…), sodas, sucres de toutes sortes rend prédisposé à se faire piquer par les poux ou les moustiques, et à avoir une immunité très faible.

Dans le cas d’une sensibilité aux protéines du lait de vache, il faut totalement supprimer les produits laitiers animaux de l’alimentation : lait, fromages, crème, glaces, etc. Le lait sans lactose n’est bien sûr d’aucune utilité.

 

Pas d’inquiétude concernant les apports en calcium, ils pourront être assurés même sans produits laitiers.

 

Comment fait la vache pour créer autant de calcium dans son lait ? Elle consomme beaucoup d’herbes.

Pour nous c’est pareil. La consommation prépondérante de légumes et de fruits, accompagnés selon les jours d’un peu de viande, de poisson, d’œufs, et toujours beaucoup d’huiles, de fruits oléagineux comme les noix, amandes, noisettes… ; une bonne nourriture saine et variée, nous assurent le meilleur squelette, la meilleure immunité la meilleure santé qui soit.

Si en plus on pratique raisonnablement du sport, du loisir créatif et un esprit porté vers la gratitude intérieure, éviter les médicaments, éviter ces marchands de peur toxiques, éviter les vaccins… le bien-être devrait être là.

Les laits végétaux peuvent nous aider dans un premier temps.

Le lait de coco contient des principes nutritifs très bonnes pour notre santé. Pour éviter sa saveur un peu douce on peut ajouter un peu d’épice à Curry ou du Colombo.

                                                                      

Les autres laits végétaux sont des triturations à base d’amandes, riz, orge, châtaigne. Il vaut mieux à ce moment utiliser directement l’aliment en question. (L’orge fermente beaucoup, éviter en cas de prédispositions aux ballonnements).

Pour faire des crêpes vous avez des recettes sur ce site. Mais sur la toile il y a de plus en plus de recettes sans produits laitiers, sans gluten, sans sucre.

Vous pouvez remplacer le sucre par du miel,

pour le lait vous mettez de l’eau avec un peu de jus de citron,

pour le beurre vous pouvez mettre de l’huile de palme très bonne pour notre santé, ou n’importe quelle autre huile en mettant 80g d’huile à la place de 100g de beurre,

pour la farine vous mettez par exemple pour 120g de farine de blé vous mettez 20g de tapioca ou manioc, 30 - 40g d’amidon de riz ou maïzena, 60 - 70g de farine de riz complète.

En fait vous pouvez faire vos mélanges avec farines de quinoa, millet, teff, riz, châtaigne. Pour alléger un peu la lourdeur de ces farines complètes ajouter un peu d’amidon ou de maïzena, et pour les rendre moins sèches en fin de cuisson un peu de manioc ou de tapioca, voir farine de pommes de terres.

                                               


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